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Mon beau-père m'attire trop…



Je m'appelle Angélique et j'ai 26 ans. Ne vous fiez pas à mon regard innocent ou à mon sourire candide, je n'ai rien d'un ange bien au contraire. Physiquement je n’ai pas envie de me vanter mais je sais que je suis "bonne". Métisse exotique, j’ai une peau caramel et le regard envoûtant des filles des îles. Pourvue d’une silhouette mince, j’ai la chance d’avoir un cul rebondi et charnu et une poitrine opulente.

Depuis un an je vis en concubinage avec Vincent. Entre nous les choses se passent bien mais la vie réserve parfois de drôles de surprises et rien n’est plus dur que de lutter contre la tentation... Vincent qui est très proche de sa famille passe la majeure partie de son temps libre auprès de ses parents. Je travaille dans un commerce à Sion et même le samedi soir lorsque je ferme la boutique pour rentrer chez moi je dois d’abord passer chez ma belle-mère pour le rejoindre. Ses parents sont des gens supers.

A force de les fréquenter des liens solides se sont créer entre nous, mais peut-être pas ceux auxquels vous pensez, car si la maman de Vincent est une femme du genre puritain, son père en revanche est un coureur de jupons. A 48 ans c’est un homme athlétique qui prend soin de lui, drôle et charmant. Depuis le début de ma rencontre avec son fils, quand je croise le regard du père une sorte de magnétisme nous attire l’un vers l’autre. J’ai bien conscience qu’il est le père de mon petit ami pourtant nous sommes devenus amants depuis les grandes vacances. Nous avons eu depuis de nombreux rapports sexuels très chauds et pour être franche, le père me baise cent fois mieux que le fils.

La première fois, c’était en août dans les douches d’un camping. Nous avions voyagé en avec eux et pendant que mère et fils faisaient les courses au village et que mon beau-père André réparait un rétro viseur, j’en ai profité pour aller prendre une bonne douche. André est venu me rejoindre et a tapé discrètement pour me demander de me dépêcher : aucune cabine était libre. J’ai alors ouvert la porte de la mienne à poil en lui disant d’un ton effronté une phrase comme « viens partager la mienne si tu veux… »

Pas de perte de temps inutile, depuis des mois que nous échangions des regards de connivence, clins d’œil, frôlements de corps en tout genre je savais qu’il avait très envie de me sauter. L’eau continuait à couler pendant qu’on s’est embrassé pour très vite m’agenouiller et lui tailler une pipe désirée depuis si longtemps. Sa bouche s’est emparée de mon clito et c’est, plaquée contre le mur de la douche, que j’ai connu mon premier orgasme avec mon beau-père. Mais ça c’était rien comparé à la levrette qu’on s’est tapé, moi à quatre pattes sur le carrelage, seins ballotant en tous sens, et lui armé de sa bite au gland ressortit comme jamais, qui martelait ma chatte à chaque coup de bite enfoncé profondément dans mon vagin bouillant.

Deux jours plus tard, il m’a glissé un mot en douce pour qu’on remette ça. J’ai attendu que Vincent s’endorme profondément et suis allée le rejoindre dans le bois qui longeait l’aire de repos. Cette fois c’est à ma petite porte de derrière qu’il s’est attaqué et pas qu’un peu… C’est la deuxième fois que je me retrouvais à quatre pattes devant lui, aucune pudeur en moi, juste une envie forte de me faire lécher et prendre. Jamais un homme ne s’était aventuré dans mon ‘tout petit ‘ alors sentir la langue d’André jouait avec ma minuscule rondelle pour tenter de la pénétrer m’a rendue dingue. Mon corps était pris de spasmes incontrôlables et je me régalais de sa langue qui léchait ma raie et qui s’enfonçait plus loin encore.

Ses mains ne lâchaient pas mes nénés qu’il pétrissait en faisant ressortir les bouts durs. Pour la première aussi je me suis faite enculée ici même contre un arbre et j’ai crié si fort qu’il a été forcé de me plaquer une main sur la bouche. Cela m’a brulé une trentaine de secondes et ensuite c’était un peu spécial comparé à devant, étrange peut être aussi mais j’ai ressentis un plaisir d’une rare intensité bref depuis j’adore la sodomie.

André n’est jamais à court d’idées lorsqu’il s’agit de me baiser : une fois nous avons utilisé les toilettes d’une pompe à essence, une autre fois sous un hall d’entrée désert, et pas plus tard que vendredi je l’ai branlé à l’avant de son automobile pendant qu’on attendait son fils… En tout cas, j’espère notre petit manège restera secret le plus longtemps possible car j’adore me taper mon beau-père.



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